COMMUNIQUÉ DE PRESS NATIONAL
Les avantages économiques et fiscaux des ajouts aux réserves sur les collectivités des Premières Nations et sur l’économie canadienne démontrés dans un nouveau rapport
Les avantages économiques et fiscaux des ajouts aux réserves sur les collectivités des Premières Nations et sur l’économie canadienne démontrés dans un nouveau rapport
Ottawa (Ontario) – Le 15 octobre, 2014 – Le Conseil national de développement économique des Autochtones (CNDEA) publiait aujourd’hui son dernier rapport intitulé Identifying Success Factors in Urban First Nations. Face aux milliers de revendications territoriales qui ont actuellement cours au Canada, la conversion de terres en réserves attire l’attention des Canadiens, qui s’inquiètent des conséquences socioéconomiques sur leurs collectivités.
Le CNDEA a mené une étude qui portait sur six Premières Nations et leurs villes voisines afin de quantifier les effets économiques et fiscaux des réserves urbaines établies, du point de vue des réserves elles-mêmes aussi bien que des environs. Le rapport montre que ces six collectivités ont ensemble créé plus de 7 000 emplois et plus de 77 millions de dollars annuellement en activités économiques qui profitent tant aux Premières Nations qu’aux villes voisines.
« Le développement économique autochtone devrait demeurer une priorité, explique le chef Clarence Louie, président du Conseil. Par le passé, des municipalités avaient peur d’être pénalisées lorsque des terres de leur région étaient converties en terres de réserve. L’étude du Conseil prouve qu’elles avaient tort. Ces réserves attirent des emplois et des fonds dans la région, et le développement économique profite non seulement aux Premières Nations, mais aussi aux villes voisines. »
Quelques faits saillants du succès combiné des six collectivités :
- investissements réels et planifiés estimés à plus de 1,5 milliard de dollars;
- les investissements réels et planifiés ont généré et généreront environ 2 700 emplois permanents occupés par des habitants des réserves, et environ 4 400 emplois permanents occupés par des gens de l’extérieur des réserves;
- environ 77 millions de dollars par année à l’appui des activités économiques en dehors des réserves;
- plus de 30 millions de dollars par année en recettes des gouvernements des Premières Nations générées par les investissements dans les six réserves urbaines;
- environ 5 millions de dollars par année en impôts fonciers perçus par les administrations locales non autochtones attribuables aux investissements dans ces six réserves urbaines.
En plus de quantifier le succès économique des réserves urbaines, le rapport présente aussi les cinq principaux facteurs qui ont contribué à leur succès. Il s’agit des infrastructures et des services, de la gouvernance, du régime de gestion des terres, des revenus autonomes et du soutien de la collectivité. Ces facteurs ont été relevés au fil d’entrevues avec des membres importants de chacune des six collectivités.
Le rapport
Ce rapport est le premier d’une série de deux rapports sur le sujet entreprise par le Conseil. Le second rapport devrait être publié au cours des prochains mois et portera sur la façon de maximiser les avantages économiques découlant des nouvelles terres converties en terres de réserves par le processus d’ajouts aux réserves.
Un ajout à une réserve est une parcelle de terrain que l’on inclut dans l’assise territoriale d’une Première Nation ou qui sert à créer une nouvelle réserve. Des terres peuvent être ajoutées, au moyen du processus d’ajouts aux réserves, aux réserves en milieu rural ou urbain.
L’étude a porté sur le cas de six Premières Nations urbaines et de leurs villes voisines. Les six collectivités étudiées sont :
- la bande de Shuswap et le district d’Invermere (ColombieBritannique);
- la Première Nation de Westbank et le district de West Kelowna (ColombieBritannique);
- la Première Nation Dakota de Whitecap et la ville de Saskatoon (Saskatchewan);
- la Nation crie d’Opaskwayak et la ville de The Pas (Manitoba);
- la bande Innu Takuaikan Uashat Mak Mani-Utenam et la ville de Sept-Îles (Québec);
- la Première nation des Malécites du Madawaska et la ville d’Edmunston (NouveauBrunswick).
Conseil national de développement économique des Autochtones
Le CNDEA a été créé par décret en 1990 afin d’offrir au gouvernement fédéral des conseils stratégiques sur les politiques et les programmes en matière de développement économique des Autochtones. Composé de dirigeants des affaires et des collectivités des Premières Nations, des Inuits et des Métis provenant de tout le Canada, le Conseil joue un rôle important auprès du gouvernement fédéral en l’aidant à élaborer des politiques et des programmes économiques adaptés aux circonstances et aux besoins particuliers des Autochtones du Canada.
L’étude sur les facteurs de réussite dans les réserves urbaines a été menée pour le Conseil par Fiscal Realities Economists. Le rapport est accessible en ligne au: https://www.naedb-cndea.com/fr/publications-fr/
Pour de plus amples renseignements ou pour demander une entrevue, prière de communiquer avec
David Rodier
Hill + Knowlton Stratégies
613-786-9945
david.rodier@hkstrategies.ca
Le CNDEA annonce la publication du rapport intitulé « Amélioration de la préparation financière des Autochtones pour participer aux grands projets d’exploitation des ressources »
Gatineau, QC – le 20 janvier 2015 – Le Conseil national de développement économique des Autochtones est fier d’annoncer la publication du plus récent rapport intitulé « Amélioration de la préparation financière des Autochtones pour participer aux grands projets d’exploitation des ressources ». Ce rapport contient des conseils et six recommandations sur la préparation financière des collectivités des Premières Nations en vue d’une participation à des grands projets de développement des ressources.
Le Conseil a choisi d’axer ses recommandations sur deux aspects essentiels : 1) les arrangements institutionnels appuyant la gestion financière dans les collectivités; 2) le renforcement des capacités pour appuyer une saine gestion financière. Une section finale présente d’autres enjeux qui, selon le Conseil, doivent être pris en compte de façon impérative par le gouvernement fédéral.
Le rapport a été présenté au ministre en octobre 2014 et des copies du rapport complet seront envoyées à tous les premiers ministres des provinces et des territoires.
Les avantages économiques et fiscaux des ajouts aux réserves sur les collectivités des Premières Nations et sur l’économie canadienne démontrés dans un nouveau rapport
COMMUNIQUÉ DE PRESS NATIONAL
Les avantages économiques et fiscaux des ajouts aux réserves sur les collectivités des Premières Nations et sur l’économie canadienne démontrés dans un nouveau rapport
Les avantages économiques et fiscaux des ajouts aux réserves sur les collectivités des Premières Nations et sur l’économie canadienne démontrés dans un nouveau rapport
Ottawa (Ontario) – Le 15 octobre, 2014 – Le Conseil national de développement économique des Autochtones (CNDEA) publiait aujourd’hui son dernier rapport intitulé Identifying Success Factors in Urban First Nations. Face aux milliers de revendications territoriales qui ont actuellement cours au Canada, la conversion de terres en réserves attire l’attention des Canadiens, qui s’inquiètent des conséquences socioéconomiques sur leurs collectivités.
Le CNDEA a mené une étude qui portait sur six Premières Nations et leurs villes voisines afin de quantifier les effets économiques et fiscaux des réserves urbaines établies, du point de vue des réserves elles-mêmes aussi bien que des environs. Le rapport montre que ces six collectivités ont ensemble créé plus de 7 000 emplois et plus de 77 millions de dollars annuellement en activités économiques qui profitent tant aux Premières Nations qu’aux villes voisines.
« Le développement économique autochtone devrait demeurer une priorité, explique le chef Clarence Louie, président du Conseil. Par le passé, des municipalités avaient peur d’être pénalisées lorsque des terres de leur région étaient converties en terres de réserve. L’étude du Conseil prouve qu’elles avaient tort. Ces réserves attirent des emplois et des fonds dans la région, et le développement économique profite non seulement aux Premières Nations, mais aussi aux villes voisines. »
Quelques faits saillants du succès combiné des six collectivités :
En plus de quantifier le succès économique des réserves urbaines, le rapport présente aussi les cinq principaux facteurs qui ont contribué à leur succès. Il s’agit des infrastructures et des services, de la gouvernance, du régime de gestion des terres, des revenus autonomes et du soutien de la collectivité. Ces facteurs ont été relevés au fil d’entrevues avec des membres importants de chacune des six collectivités.
Le rapport
Ce rapport est le premier d’une série de deux rapports sur le sujet entreprise par le Conseil. Le second rapport devrait être publié au cours des prochains mois et portera sur la façon de maximiser les avantages économiques découlant des nouvelles terres converties en terres de réserves par le processus d’ajouts aux réserves.
Un ajout à une réserve est une parcelle de terrain que l’on inclut dans l’assise territoriale d’une Première Nation ou qui sert à créer une nouvelle réserve. Des terres peuvent être ajoutées, au moyen du processus d’ajouts aux réserves, aux réserves en milieu rural ou urbain.
L’étude a porté sur le cas de six Premières Nations urbaines et de leurs villes voisines. Les six collectivités étudiées sont :
Conseil national de développement économique des Autochtones
Le CNDEA a été créé par décret en 1990 afin d’offrir au gouvernement fédéral des conseils stratégiques sur les politiques et les programmes en matière de développement économique des Autochtones. Composé de dirigeants des affaires et des collectivités des Premières Nations, des Inuits et des Métis provenant de tout le Canada, le Conseil joue un rôle important auprès du gouvernement fédéral en l’aidant à élaborer des politiques et des programmes économiques adaptés aux circonstances et aux besoins particuliers des Autochtones du Canada.
L’étude sur les facteurs de réussite dans les réserves urbaines a été menée pour le Conseil par Fiscal Realities Economists. Le rapport est accessible en ligne au: https://www.naedb-cndea.com/fr/publications-fr/
Pour de plus amples renseignements ou pour demander une entrevue, prière de communiquer avec
David Rodier
Hill + Knowlton Stratégies
613-786-9945
david.rodier@hkstrategies.ca
Trois nouvelles nominations au Conseil
Le chef Clarence Louie, président du Conseil national de développement économique des Autochtones (CNDEA), est heureux d’annoncer trois nouvelles nominations au conseil d’administration en date du 13 juin 2014. Hilda Broomfield Letemplier, une Inuite de Happy Valley-Goose Bay à Terre-Neuve, est l’actuelle présidente et chef de la direction financière de Pressure Pipe Steel Fabrication Limited ainsi que membre de la direction de longue date du Labrador Organization of Women Entrepreneurs.
Dr Marie Delorme, une Métisse de Calgary en Alberta, est une entrepreneure et chef de la direction de Imagination Group of Companies qui se spécialise dans la prestation de services à d’autres organisations en vue de les aider à accroître leur efficacité ainsi que leur rentabilité, et ce, dans le but de stimuler le développement économique.
Ruth Williams, une Autochtone de la Première Nation High Bar en Colombie-Britannique, est actuellement vice-présidente du Fonds pour les logements du marché destinés aux Premières Nations. Ruth est aussi l’ancienne chef de la direction de All Nations Trust Company.
Pour plus d’informations concernant les nouvelles membres du conseil d’administration, s’il vous plaît consulter la page des biographies des membres du conseil à https://www.naedb-cndea.com/fr/le-conseil/